CE COMPTE EST DÉDIÉ À L’OBSERVATION DES EFFETS DU SERVRAGE ENGENDRÉS SUR UN HOMME ADDICT AU PORNO, DÉTAILS PLUS BAS.
Je poste mes avancées dans mon combat contre l’addiction en essayant de détailler au mieux les effets que le sevrage déclenche chez moi, que ce soit physique ou psychologique, j’essaie de pointer tous les jours pour actualiser au mieux les informations en direct.
Si des gens hésitent à se lancer, ou encore si certains veulent observer les effets d’un sevrage au porno sur un jeune homme ayant baigné dedans, ils sont libres de prendre mes témoignages.
NB: Si vous comptez utiliser mes notes pour un éventuel article abordant ce thème, merci de me citer.
NB2: Merci de vous baser, qui que vous soyez, pour ne pas avoir de résultats faussés, sur les résultats du mois de janvier 2022 jusqu’à maintenant où vous lisez ces lignes. Les autres essais de l’année précédente étaient pour la plupart des échecs.
Pour ce qui est du protocole et du « cobaye »:
J’ai vu pour la première fois de ma vie des images pornographiques vers l’âge de 8-9 ans, à cause des pops-up des sites de streaming sur lesquels mon père allait pour télécharger des films.
Cependant mon premier porno a été à mes 11 ans. A noter que ma première branlette s’est faite avec du porno et non par imagination. Depuis j’ai continué jusqu’à être peu à peu accro.
Le pic a été atteint en seconde/première soit à mes 15-16 ans. La fréquence pouvait varier, mais pour donner un ordre d’idée j’étais en moyenne entre 3-5 branlettes par jour (avec porno évidemment).
Entre 16 et 18 ans cela s’est relativement apaisé (j’entends par là environ 2 branlettes par jour en moyenne).
Jusqu’à il y a peu au moment où j’écris ces lignes (il y a environ quelques mois, 5-6 tout au plus) je me suis enfoncé dans du contenu assez extrême que je ne dévoilerai pas pour des raisons de dignité et d’intimité.
Durant mes 8 autres années avant mes 19 ans, j’étais sur du porno relativement soft, le genre de vidéos que l’on peut trouver facilement aux premières pages de n’importe quel site.
C’était plus la fréquence qui semblait primer sur le contenu en lui-même (peut être avec les hormones qui s’agitent fortement durant l’adolescence ?), cependant cela a changé et il est devenu problématique de continuer une vie remplie de fantasmes.
Voilà pour ce qui est grossièrement pour mon « parcours » et ce qui a été observé dans les grandes lignes.
Raisons du sevrage:
D’abord un sentiment de vide profond et de honte (critère souvent évoqué).
Perte de sens de sa propre vie, désespoir, misère sexuelle puis non misère sexuelle. Je m’explique.
Entre 14 et 17 ans je souffrais d’une grosse misère sexuelle, je me tortillais et virait parfois a la mi-folie mi-désespoir a cause de l’absence de femme. Cela s’est estompé à l’aube de mes 18 ans, je ne sais ni pourquoi ni comment. Au début je voyais ça comme un avantage me permettant de regarder tout ce que je voulais quasiment en illimité sans avoir à supporter la misère sexuelle. Grave erreur, l’absence de misère sexuelle est le problème même, car sans misère pas de douleur, sans douleur pas d’action. C’est donc un point que je n’ai encore jamais entendu être évoqué, peut être n’ai-je pas tendu la bonne oreille. En tout cas je l’apporte en tant qu’effet négatif du porno.
Autre problème, les dysfonctionnements érectiles, je ne pourrai pas dire si l’on a des problèmes avec sa femme lorsque l’on est addict, pour la simple et bonne raison que je n’ai pas eu l’occasion d’en avoir pendant l’addiction, par contre j’ai observé une baisse nette du débit sanguin apporté à l’appareil génital lorsque je m’exposais a du porno plus soft (images, porno mainstream etc). L’érection et le plaisir sur le moment étaient nettement moins forts.
Vous perdez également confiance en vous, vos plaisirs pour les choses simples sont balayées tel un homme face à un raz de marée.
Quoi qu’il en soit, gardez la tête haute et battez-vous, qui sait, c’est peut être notre plus grand combat, dans cette époque de paix et d’ennui.
Je poste mes avancées dans mon combat contre l’addiction en essayant de détailler au mieux les effets que le sevrage déclenche chez moi, que ce soit physique ou psychologique, j’essaie de pointer tous les jours pour actualiser au mieux les informations en direct.
Si des gens hésitent à se lancer, ou encore si certains veulent observer les effets d’un sevrage au porno sur un jeune homme ayant baigné dedans, ils sont libres de prendre mes témoignages.
NB: Si vous comptez utiliser mes notes pour un éventuel article abordant ce thème, merci de me citer.
NB2: Merci de vous baser, qui que vous soyez, pour ne pas avoir de résultats faussés, sur les résultats du mois de janvier 2022 jusqu’à maintenant où vous lisez ces lignes. Les autres essais de l’année précédente étaient pour la plupart des échecs.
Pour ce qui est du protocole et du « cobaye »:
J’ai vu pour la première fois de ma vie des images pornographiques vers l’âge de 8-9 ans, à cause des pops-up des sites de streaming sur lesquels mon père allait pour télécharger des films.
Cependant mon premier porno a été à mes 11 ans. A noter que ma première branlette s’est faite avec du porno et non par imagination. Depuis j’ai continué jusqu’à être peu à peu accro.
Le pic a été atteint en seconde/première soit à mes 15-16 ans. La fréquence pouvait varier, mais pour donner un ordre d’idée j’étais en moyenne entre 3-5 branlettes par jour (avec porno évidemment).
Entre 16 et 18 ans cela s’est relativement apaisé (j’entends par là environ 2 branlettes par jour en moyenne).
Jusqu’à il y a peu au moment où j’écris ces lignes (il y a environ quelques mois, 5-6 tout au plus) je me suis enfoncé dans du contenu assez extrême que je ne dévoilerai pas pour des raisons de dignité et d’intimité.
Durant mes 8 autres années avant mes 19 ans, j’étais sur du porno relativement soft, le genre de vidéos que l’on peut trouver facilement aux premières pages de n’importe quel site.
C’était plus la fréquence qui semblait primer sur le contenu en lui-même (peut être avec les hormones qui s’agitent fortement durant l’adolescence ?), cependant cela a changé et il est devenu problématique de continuer une vie remplie de fantasmes.
Voilà pour ce qui est grossièrement pour mon « parcours » et ce qui a été observé dans les grandes lignes.
Raisons du sevrage:
D’abord un sentiment de vide profond et de honte (critère souvent évoqué).
Perte de sens de sa propre vie, désespoir, misère sexuelle puis non misère sexuelle. Je m’explique.
Entre 14 et 17 ans je souffrais d’une grosse misère sexuelle, je me tortillais et virait parfois a la mi-folie mi-désespoir a cause de l’absence de femme. Cela s’est estompé à l’aube de mes 18 ans, je ne sais ni pourquoi ni comment. Au début je voyais ça comme un avantage me permettant de regarder tout ce que je voulais quasiment en illimité sans avoir à supporter la misère sexuelle. Grave erreur, l’absence de misère sexuelle est le problème même, car sans misère pas de douleur, sans douleur pas d’action. C’est donc un point que je n’ai encore jamais entendu être évoqué, peut être n’ai-je pas tendu la bonne oreille. En tout cas je l’apporte en tant qu’effet négatif du porno.
Autre problème, les dysfonctionnements érectiles, je ne pourrai pas dire si l’on a des problèmes avec sa femme lorsque l’on est addict, pour la simple et bonne raison que je n’ai pas eu l’occasion d’en avoir pendant l’addiction, par contre j’ai observé une baisse nette du débit sanguin apporté à l’appareil génital lorsque je m’exposais a du porno plus soft (images, porno mainstream etc). L’érection et le plaisir sur le moment étaient nettement moins forts.
Vous perdez également confiance en vous, vos plaisirs pour les choses simples sont balayées tel un homme face à un raz de marée.
Quoi qu’il en soit, gardez la tête haute et battez-vous, qui sait, c’est peut être notre plus grand combat, dans cette époque de paix et d’ennui.