Jusqu’à 22 ans : je suis resté un puceau complet (je n’ai pas embrassé une fille sur la bouche et donc encore moins coucher ou toucher une fille.
J’étais trop timide et solitaire.
Dès 10 ans, la masturbation m’était familière (même si je ne pouvais pas éjaculer, je faisais aller ma bite de droite à gauche jusqu’à une certaine jouissance).
Vers 13 ans, j’ai découvert l’éjaculation, à 14 ans le plaisir de m’habiller en fille (je mettais les vêtements de ma sœur ou de ma mère) et c’est l’escalade.
Tous les mercredis, je m’enfermais dans le grenier pour jouer en fille, puis je suis allé faire du vélo en jupe sur les routes de campagne, et enfin vers 16 ans je suis sorti faire le tour du pâté de maison un soir où j’étais seul, en jupe en jeans, maquillé. Je me suis fait traité de PD par des jeunes de mon age, j’ai alors baissé la tête et j’ai continué mon tour. Lorsque je suis rentré à ma maison, j’avais le cœur qui battait fort et je me suis branlé.
Vers 17 ans au lycée, je mettais régulièrement des slips de femmes (un matin avant les cours je suis allé me promener cette fois de jour, habillé en jupe et collant de laine dans la ville), je me branlais dans les urinoirs de mon lycée (toujours la peur de me faire surprendre).
A cette époque, j’ai commencé à me sodomiser (la première fois avec une petite bouteille de Perrier), puis ensuite avec un manche en bois d’un gros tournevis (je l’ai encore). J’ai goûté à mon sperme. Je me mettais nu dans les champs pour bronzer.
Vers 18 ans (dernière année au lycée), je suis rasé le pubis en juillet, j’ai commencé à me retenir de jouir (alors que je me branlais quasiment quotidiennement, je tenais 1 semaine sans jouir, puis j’augmentais la durée).
Je me souviens qu’une fois je suis resté 37 jours sans jouir et que je me suis branlé dans ma bouche. Cela avait ruiné ma jouissance malgré les 37 jours d’abstinence.
Sur des agendas, je notais mes branlettes, mes sodomies, les jours où je portais des slips de femmes, où j’avalais mon sperme (j’ai toujours ses agendas aussi).
Vers 19 ans à la Faculté de Reims, j’habitais en résidence universitaire et donc j’avais une chambre à moi. Je portais presque chaque jour un slip de femme ou alors aucun slip sous mon jeans.
Un jour je me suis branlé en cours (pas en ampli mais en classe pratique), j’avais prévu le coup, j’avais mis un maillot de bain pour absorber le maximum de sperme, ce fut une de mes meilleures jouissances.
J’achetais en librairie des livres de cul, surtout des récits sexuels.
A 22 ans, j’ai rencontré une fille (Séverine) qui était l’amie de ma sœur.
J’ai mis 3 mois pour la draguer et 1 mois à près je l’ai embrassé chastement sur les lèvres (j’avais 22 ans ½) puis ensuite ce fut des vrais baisers avec la langues.
4 mois plus tard après quelques tripotages de ses seins et de sa chatte sans jamais la voir nue, nous décidâmes de coucher ensemble. Encore 2 mois pour qu’elle prenne la pilule puis le grand jour arriva à 23 ans. Ce fut un week-end chez mes parents, un après midi, le désastre pour moi, j’ai cru que j’étais en elle mais j’ai éjaculé dès que ma bite a frotté contre ses jambes.
Elle ne m’a rien dit car j’appris lorsque nous nous sommes séparés que j’étais aussi son premier garçon (elle avait 2 ans de moins que moi).
La suite fut mieux avec l’expérience. J’ai connu mes premières fellations, j’adorais cela même si elle n’avalait pas, elle recrachait sur un coin du lit.
Après mon armée, nous nous sommes installés ensemble en région parisienne, puis nous nous sommes mariés.
Après 5 ans de vie commune, bouffés par le travail, nous avons décidé de faire du sport ensemble. Nous nous sommes inscrits à un club de natation le soir.
Nous nous sommes bien intégrés à ce club, particulièrement avec un moniteur du club (Raymond), un sportif de 58 ans (j’avais 28 ans et elle 26 ans).
Il devint notre ami, pendant 3 ans nous sommes partis en vacances plusieurs fois ensemble (lui était séparé avec sa femme).
A 31 ans et demi, un matin par une lettre laissée découverte par ma femme pour que je la lise, j’appris qu’elle me cocufiait.
Le soir je lui ai demandé qui c’était, elle ne voulut pas me le dire, puis je lui ai dit c’est Raymond.
Elle avoua que cela durait depuis 1 an.
Je m’écroulais, je pleurais.
Le lendemain je voulais savoir pourquoi.
Elle me répondit Raymond l’avais dragué et qu’elle avait cédé pour qu’il reste son ami. La première fois, ils l’ont fait dans sa voiture, ensuite il venait chez moi surtout le samedi (puisque je travaillais).
Plusieurs mois après notre séparation, je me suis dit que j’avais eu plein de signe qu’elle me trompait mais que je n’avais rien vu ou rien voulu voir : nous ne faisions l’amour que 1 à 2 fois par mois, ces fellations étaient différentes, elle me suçait beaucoup mieux, elle était très souvent avec Raymond (il venait d’être en retraite)
Je lui ai demandé de ne plus revoir Raymond et que je lui pardonnerais. Elle a refusé, elle m’a dit qu’elle en avait besoin comme ami.
Je lui ai aussi demandé si je ne pouvais lui apporter ce que Raymond lui apportait. Ma déchéance arriva avec cette question.
Elle me répondit que j’avais été son 1er homme, qu’au lit avec moi ce n’était pas terrible, que Raymond l’avait amené au plaisir et que moi jamais (je pense qu’elle exagérait)
Nous nous sommes séparés en février 2000, elle a consenti à passer le réveillon du jour de l’an ensemble et j’ai pu lui faire une dernière fois l’amour à cette occasion.
Depuis je n’ai plus touché une autre femme
J’étais trop timide et solitaire.
Dès 10 ans, la masturbation m’était familière (même si je ne pouvais pas éjaculer, je faisais aller ma bite de droite à gauche jusqu’à une certaine jouissance).
Vers 13 ans, j’ai découvert l’éjaculation, à 14 ans le plaisir de m’habiller en fille (je mettais les vêtements de ma sœur ou de ma mère) et c’est l’escalade.
Tous les mercredis, je m’enfermais dans le grenier pour jouer en fille, puis je suis allé faire du vélo en jupe sur les routes de campagne, et enfin vers 16 ans je suis sorti faire le tour du pâté de maison un soir où j’étais seul, en jupe en jeans, maquillé. Je me suis fait traité de PD par des jeunes de mon age, j’ai alors baissé la tête et j’ai continué mon tour. Lorsque je suis rentré à ma maison, j’avais le cœur qui battait fort et je me suis branlé.
Vers 17 ans au lycée, je mettais régulièrement des slips de femmes (un matin avant les cours je suis allé me promener cette fois de jour, habillé en jupe et collant de laine dans la ville), je me branlais dans les urinoirs de mon lycée (toujours la peur de me faire surprendre).
A cette époque, j’ai commencé à me sodomiser (la première fois avec une petite bouteille de Perrier), puis ensuite avec un manche en bois d’un gros tournevis (je l’ai encore). J’ai goûté à mon sperme. Je me mettais nu dans les champs pour bronzer.
Vers 18 ans (dernière année au lycée), je suis rasé le pubis en juillet, j’ai commencé à me retenir de jouir (alors que je me branlais quasiment quotidiennement, je tenais 1 semaine sans jouir, puis j’augmentais la durée).
Je me souviens qu’une fois je suis resté 37 jours sans jouir et que je me suis branlé dans ma bouche. Cela avait ruiné ma jouissance malgré les 37 jours d’abstinence.
Sur des agendas, je notais mes branlettes, mes sodomies, les jours où je portais des slips de femmes, où j’avalais mon sperme (j’ai toujours ses agendas aussi).
Vers 19 ans à la Faculté de Reims, j’habitais en résidence universitaire et donc j’avais une chambre à moi. Je portais presque chaque jour un slip de femme ou alors aucun slip sous mon jeans.
Un jour je me suis branlé en cours (pas en ampli mais en classe pratique), j’avais prévu le coup, j’avais mis un maillot de bain pour absorber le maximum de sperme, ce fut une de mes meilleures jouissances.
J’achetais en librairie des livres de cul, surtout des récits sexuels.
A 22 ans, j’ai rencontré une fille (Séverine) qui était l’amie de ma sœur.
J’ai mis 3 mois pour la draguer et 1 mois à près je l’ai embrassé chastement sur les lèvres (j’avais 22 ans ½) puis ensuite ce fut des vrais baisers avec la langues.
4 mois plus tard après quelques tripotages de ses seins et de sa chatte sans jamais la voir nue, nous décidâmes de coucher ensemble. Encore 2 mois pour qu’elle prenne la pilule puis le grand jour arriva à 23 ans. Ce fut un week-end chez mes parents, un après midi, le désastre pour moi, j’ai cru que j’étais en elle mais j’ai éjaculé dès que ma bite a frotté contre ses jambes.
Elle ne m’a rien dit car j’appris lorsque nous nous sommes séparés que j’étais aussi son premier garçon (elle avait 2 ans de moins que moi).
La suite fut mieux avec l’expérience. J’ai connu mes premières fellations, j’adorais cela même si elle n’avalait pas, elle recrachait sur un coin du lit.
Après mon armée, nous nous sommes installés ensemble en région parisienne, puis nous nous sommes mariés.
Après 5 ans de vie commune, bouffés par le travail, nous avons décidé de faire du sport ensemble. Nous nous sommes inscrits à un club de natation le soir.
Nous nous sommes bien intégrés à ce club, particulièrement avec un moniteur du club (Raymond), un sportif de 58 ans (j’avais 28 ans et elle 26 ans).
Il devint notre ami, pendant 3 ans nous sommes partis en vacances plusieurs fois ensemble (lui était séparé avec sa femme).
A 31 ans et demi, un matin par une lettre laissée découverte par ma femme pour que je la lise, j’appris qu’elle me cocufiait.
Le soir je lui ai demandé qui c’était, elle ne voulut pas me le dire, puis je lui ai dit c’est Raymond.
Elle avoua que cela durait depuis 1 an.
Je m’écroulais, je pleurais.
Le lendemain je voulais savoir pourquoi.
Elle me répondit Raymond l’avais dragué et qu’elle avait cédé pour qu’il reste son ami. La première fois, ils l’ont fait dans sa voiture, ensuite il venait chez moi surtout le samedi (puisque je travaillais).
Plusieurs mois après notre séparation, je me suis dit que j’avais eu plein de signe qu’elle me trompait mais que je n’avais rien vu ou rien voulu voir : nous ne faisions l’amour que 1 à 2 fois par mois, ces fellations étaient différentes, elle me suçait beaucoup mieux, elle était très souvent avec Raymond (il venait d’être en retraite)
Je lui ai demandé de ne plus revoir Raymond et que je lui pardonnerais. Elle a refusé, elle m’a dit qu’elle en avait besoin comme ami.
Je lui ai aussi demandé si je ne pouvais lui apporter ce que Raymond lui apportait. Ma déchéance arriva avec cette question.
Elle me répondit que j’avais été son 1er homme, qu’au lit avec moi ce n’était pas terrible, que Raymond l’avait amené au plaisir et que moi jamais (je pense qu’elle exagérait)
Nous nous sommes séparés en février 2000, elle a consenti à passer le réveillon du jour de l’an ensemble et j’ai pu lui faire une dernière fois l’amour à cette occasion.
Depuis je n’ai plus touché une autre femme