Il y a 1 mois
Jowill666
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↳ Abstinence n°7 | Record: 90 jour(s) | Mode EXTREM | Objectif: 666 jour(s)

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Le Tour du monde en 80 jours
- Jules Verne, Amélie Berthou-Sergeant, Florence Renner
Page: 200 / 324 |
Douche froide
Lecture
(30min)
54
10h20m41s
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(si c'est possible de commenté ça propre publication ) :
J’ai toujours entendu cette phrase :
"Tout ce que ton cerveau perçoit, qu’il soit réel ou imaginaire, est vécu comme une réalité."
C’est une idée largement explorée en neurosciences, en psychologie et même dans le développement personnel. On l’évoque souvent dans les discussions sur les effets de la pornographie sur le cerveau, sur la puissance des croyances limitantes ou encore sur l'impact de la visualisation positive.
Mais une chose est de comprendre un concept intellectuellement. Une autre est de le ressentir pleinement.
Ce matin, j’en ai fait l’expérience de manière brutale.
Je me suis réveillé avec une sensation d’anxiété oppressante, comme si j’avais vécu une situation réellement embarrassante. Dans mon rêve, j’avais été mis en difficulté lors d’un échange professionnel avec une personne qui, dans mon rêve, était mon supérieur hiérarchique (N+3). Problème : cette personne n’existe pas dans la vraie vie. La scène non plus.
Et pourtant, mon cerveau avait déclenché une réponse émotionnelle bien réelle. Mon rythme cardiaque était plus rapide. Une tension persistait dans mon corps. Comme si j’avais vécu cet événement… alors qu’il n’avait jamais eu lieu.
C’est là que j’ai eu un déclic : si mon cerveau peut me faire ressentir du stress à partir d’un simple rêve, pourquoi ne pourrais-je pas utiliser ce même mécanisme pour générer volontairement des émotions positives ?
Ce phénomène n’a rien de mystique. Il est largement documenté en psychologie cognitive et en neurosciences. Des études ont démontré que les athlètes de haut niveau utilisent la visualisation mentale pour améliorer leurs performances. Michael Phelps, par exemple, répétait mentalement chaque course avant de plonger dans le bassin, imaginant chaque mouvement avec une précision chirurgicale. Son cerveau, incapable de faire la distinction entre l’entraînement réel et la simulation mentale, lui permettait d’optimiser ses réflexes et sa confiance en lui.
Alors, si un simple rêve peut me mettre dans un état de stress authentique, pourquoi ne pas consciemment induire des émotions positives pour nourrir mon ambition, ma confiance et ma motivation ?
J’ai donc voulu tester l’idée et j’ai demandé à ChatGPT de me guider dans une séance de visualisation. Pour l’instant, ce n’est pas encore parfait, mais l’idée est là.
Et si nous pouvions tous, à travers l’imagination et la répétition mentale, façonner nos pensées et nos émotions au même titre que nous sculptons notre corps à la salle de sport ?
Peut-être que la clé du bien-être et de la réussite est déjà en nous, et qu’il suffit simplement d’apprendre à "programmer" notre cerveau de la bonne manière.