Il y a 2 ans
↳ Abstinence n°2 | Record: 1084 jour(s) | Mode EXTREM | Objectif: 343 jour(s)
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Assis sur un banc dans le parc, l’autre jour, je regardais distraitement le ballet des humains et des chiens. Une question m’a alors soudain frappé l’esprit : pourquoi, du plus petit au plus gros, y a-t-il autant de différences de taille chez les chiens, tandis que chez les autres espèces du règne animal (à commencer par les humains) c’est beaucoup moins le cas ? Là-dessus, rentré chez moi, je me plonge dans la lecture du Monde et je tombe, dans le supplément Sciences et techniques, sur un article dont voici le début : « De toutes les espèces animales étudiées, le chien est celle qui présente la plus grande variété de taille. Un rapport de un à quarante sépare le minuscule chihuahua du grand danois. » D’où la question : pourquoi ? Exactement la question que j’étais en train de me poser, dites donc. J’en ai presque rougi de vanité. Bref : vous imaginez l’avidité avec laquelle je me suis plongé dans l’article, pour avoir la vraie de vraie réponse. Et là, horrible déception : je n’ai rien compris. Apparemment, la clé de l’affaire réside dans cette constatation : « Les plus petits chiens ont les allèles d’une version du gène IGF1, les plus grands les deux allèles de l’autre, les chiens intermédiaires souvent une de chaque. » OK. D’accord. Les allèles. Et donc ? De deux choses l’une : ou c’est juste un poil complexe, comme l’est toute science ; ou je suis vraiment trop nul. Je crains, hélas, d’avoir (cette fois) la réponse.