Objectif : Sortir du porno pour toujours. Et arrêter la masturbation (car elle me ramène toujours à plus)
Tout arrêter, car je ne sais rien contrôler. Impuissant face à luxure depuis 17 années (depuis mes 14 ans), ma dernière grande rechute m'a détruite (comprenait que cela n'ai pas resté dans un cadre privé, mon ancien voisinage savait pour ma conso').
Le contrôle et arrêter seul ne m'a servis à rien, voilà pourquoi j'ai rejoins d'autres dépendants ici et ailleurs.
Changer ce que je peux changer en moi (mes comportements et habitudes).
La dépression et le poids de la culpabilité est à chaque réveil avec moi. Ma vie est difficile chaque jour. La vie est épuisante chaque jour, je suis fatigué.
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Ma volonté n'étant rien, j'ai changé beaucoup de chose.
Se coucher plus tot si possible, changer ses habitudes de vie, j'ai lue des articles et regarder beaucoup de vidéo sur le sujet (dont certaines de référence en terme de spécialiste en addicto'). Réunion de dépendant via une asso' lié à ça (j'admet que ça conviendra pas à tout le monde, moi cela m'aide). Suppression de beaucoup de chose sur les réseaux sociaux, pour ne plus avoir de contenue "à risque". Faire attention aux regards dans la rue, faire attention ne pas se construire des fantasmes, arrêter de s'en nourrir et de se construire un monde iréel pour fuir la réalité. Suppression du smartphone. J'ai parlé (pour 1/3) à ma femme de mon problème, et que m'a dépression venait de la. Faire un point sur ses passages à l'actes passé, et présent, ainsi que les élèments déclencheur. Faire le point de ses principaux passages à l'actes, avec les conséquences qu'il y a eu sur les autres, et soit mêmes.
Essayer de plutôt reprendre ses passions, ou se détendre le soir plus "sainement". Pour certain ça passe aussi par un meilleur régime alimentaire, moi j'ai pas eu à changer mon régime alimentaire.
Et surtout, le fap nourrit mon envie de porno, et vice et versa. Dans mon cerveau à moi, ses liées. Donc la demi mesure, j'arrête le porno, et je garde un peu de fap n'a pas marché chez moi.
J'ai commencé à allez voir un psy pour l'addicto'. C'est récent, donc je peux rien en dire.
Perso je pense que dans mon cas à moi c'est foutue, mais si ça peut aider certain qui ont chutés moins loin, faite le travail avant qu'il ne soit trop tard. Ne soyez pas aussi stupide que moi.
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Edit fin 2024 :
Ca fait 3 ans et demi que j'ai commencé ici à peu près, et sur pornodépendance (forum).
J'ai était voir un psy addicto' (enfin c'est plus une sexologue en vraie...), ça a permis de débloquer des choses que je n'arrivais pas à partager à ma femme.
Toujours des réunions en SA (Sexolique Anonyme), en DA (Dépressif Anonyme, je fais même du service), et DAA (Dépendant Affectif Anonyme) aussi de temps en temps.
Des lectures (sur internet et en papier), des vidéos (amateurs, mais aussi pas mal de spécialiste, reportages, documentaires, etc). C'est toujours un travail de veille chez moi sur l'addiction, la dépresssion, les troubles divers du comportement, les déviances de notre société, etc
Une vraie introspection s'est mis en place au, et elle n'est pas fini :
=> Dépendant sexuelle (il faut rester vigilent, j'ai parfois des comportements à la limite de la recherche de rechute). Je dois faire attention avec l'alcool (favorise le lâcher prise, mais à double tranchant), et l'alimentaire (manger de façon boulimique par moment)
=> Dépression (j'ai découvert que c'était présent depuis au moins l'adolescence, par vague. Aujourd'hui c'est mieux, mais la dépression est toujours la).
=> Trouble de personnalité évitante (on y travail, mais rien n'est réglée à ce sujet...)
=> Trouble borderline (j'essaye de trouver différente technique pour ne plus être dans l'explosion de la cocote minute comme avant. En 3 ans et demi j'ai avancé)
=> Dépendance Affective, plus sur certaine période de vie
=> En cours de test de TSA avec psy' spécialisé, car sujet compliqué. Interrogation de la spécialiste sur TDA/TDAH, à voir. (j'espère la fin de l'introspection, et une thérapie TCC probablement à la clée, ainsi que divers technique). Enfin ça expliquerait beaucoup beaucoup de chose.
Et ma femme souhaite construire une famille avec moi, 1 enfant. Elle se sent prête, moi ce n'est pas clair. Ce n'est pas clair, mais je prépare déjà la chambre (incohérent au complet).
Et quelques autres projets (travaux, bricolages autres, etc).
Bref, je ne pensais pas que cette dépendance, et cette problématique de départ caché beaucoup d'autres choses à régler chez moi.
Tout arrêter, car je ne sais rien contrôler. Impuissant face à luxure depuis 17 années (depuis mes 14 ans), ma dernière grande rechute m'a détruite (comprenait que cela n'ai pas resté dans un cadre privé, mon ancien voisinage savait pour ma conso').
Le contrôle et arrêter seul ne m'a servis à rien, voilà pourquoi j'ai rejoins d'autres dépendants ici et ailleurs.
Changer ce que je peux changer en moi (mes comportements et habitudes).
La dépression et le poids de la culpabilité est à chaque réveil avec moi. Ma vie est difficile chaque jour. La vie est épuisante chaque jour, je suis fatigué.
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Ma volonté n'étant rien, j'ai changé beaucoup de chose.
Se coucher plus tot si possible, changer ses habitudes de vie, j'ai lue des articles et regarder beaucoup de vidéo sur le sujet (dont certaines de référence en terme de spécialiste en addicto'). Réunion de dépendant via une asso' lié à ça (j'admet que ça conviendra pas à tout le monde, moi cela m'aide). Suppression de beaucoup de chose sur les réseaux sociaux, pour ne plus avoir de contenue "à risque". Faire attention aux regards dans la rue, faire attention ne pas se construire des fantasmes, arrêter de s'en nourrir et de se construire un monde iréel pour fuir la réalité. Suppression du smartphone. J'ai parlé (pour 1/3) à ma femme de mon problème, et que m'a dépression venait de la. Faire un point sur ses passages à l'actes passé, et présent, ainsi que les élèments déclencheur. Faire le point de ses principaux passages à l'actes, avec les conséquences qu'il y a eu sur les autres, et soit mêmes.
Essayer de plutôt reprendre ses passions, ou se détendre le soir plus "sainement". Pour certain ça passe aussi par un meilleur régime alimentaire, moi j'ai pas eu à changer mon régime alimentaire.
Et surtout, le fap nourrit mon envie de porno, et vice et versa. Dans mon cerveau à moi, ses liées. Donc la demi mesure, j'arrête le porno, et je garde un peu de fap n'a pas marché chez moi.
J'ai commencé à allez voir un psy pour l'addicto'. C'est récent, donc je peux rien en dire.
Perso je pense que dans mon cas à moi c'est foutue, mais si ça peut aider certain qui ont chutés moins loin, faite le travail avant qu'il ne soit trop tard. Ne soyez pas aussi stupide que moi.
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Edit fin 2024 :
Ca fait 3 ans et demi que j'ai commencé ici à peu près, et sur pornodépendance (forum).
J'ai était voir un psy addicto' (enfin c'est plus une sexologue en vraie...), ça a permis de débloquer des choses que je n'arrivais pas à partager à ma femme.
Toujours des réunions en SA (Sexolique Anonyme), en DA (Dépressif Anonyme, je fais même du service), et DAA (Dépendant Affectif Anonyme) aussi de temps en temps.
Des lectures (sur internet et en papier), des vidéos (amateurs, mais aussi pas mal de spécialiste, reportages, documentaires, etc). C'est toujours un travail de veille chez moi sur l'addiction, la dépresssion, les troubles divers du comportement, les déviances de notre société, etc
Une vraie introspection s'est mis en place au, et elle n'est pas fini :
=> Dépendant sexuelle (il faut rester vigilent, j'ai parfois des comportements à la limite de la recherche de rechute). Je dois faire attention avec l'alcool (favorise le lâcher prise, mais à double tranchant), et l'alimentaire (manger de façon boulimique par moment)
=> Dépression (j'ai découvert que c'était présent depuis au moins l'adolescence, par vague. Aujourd'hui c'est mieux, mais la dépression est toujours la).
=> Trouble de personnalité évitante (on y travail, mais rien n'est réglée à ce sujet...)
=> Trouble borderline (j'essaye de trouver différente technique pour ne plus être dans l'explosion de la cocote minute comme avant. En 3 ans et demi j'ai avancé)
=> Dépendance Affective, plus sur certaine période de vie
=> En cours de test de TSA avec psy' spécialisé, car sujet compliqué. Interrogation de la spécialiste sur TDA/TDAH, à voir. (j'espère la fin de l'introspection, et une thérapie TCC probablement à la clée, ainsi que divers technique). Enfin ça expliquerait beaucoup beaucoup de chose.
Et ma femme souhaite construire une famille avec moi, 1 enfant. Elle se sent prête, moi ce n'est pas clair. Ce n'est pas clair, mais je prépare déjà la chambre (incohérent au complet).
Et quelques autres projets (travaux, bricolages autres, etc).
Bref, je ne pensais pas que cette dépendance, et cette problématique de départ caché beaucoup d'autres choses à régler chez moi.
les groupes de partages comme ici et ailleurs,
la littérature,
documentaire/vidéo adapté,
quelques rares professionnels de santé, etc
Si vous basé tout sur votre seule volonté pour changer, et vous vous laissez influencer par ce que la plupart des gens pensent sur les réseaux sociaux, les camarades d'étude/collègues de travail disent et pense, etc
qui disons le clairement, pour la plupart ne savent pas la réaliter de ses sujets, vous êtes morts.
Et clairement c'est déprimant ce qu'on peut lire et entendre. J'ai décidé de m'éloigné de plus en plus de tous ça à titre personnel. Cela ne m'apporte rien de positif à part de la régression, voir des situations conflictuels quand on émet un avis qui ne colle pas avec la doctrine moyenne.
Je suis resté marqué cependant par une phrase cette été après la visite d'un site un peu particulier, par un guide : "soyez de bonne personne", dans le sens faite en sorte de l'être.
Ensuite je me suis montée la tête avec ça, "je n'arriverais jamais à être vraiment une bonne personne, je suis nul, je suis une grosse merde, je suis quelqu'un de mauvais qui a fais des choses mauvaises, etc."
Une phrase des AA m'a fait redescendre sur terre : "Ce qui compte, c’est que nous sommes disposés à progresser"
Bon rétablissement à tous.