Porno Soft et Hard : les mêmes conséquences ?
Auteur | Message |
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Le porno "soft" se distingue du porno "hard" dans la mesure où il n'y a pas de relation sexuelle explicite. Un individu prenant goût au porno "soft" subit-il les mêmes conséquences qu'un amateur de porno "hard" ? Naturellement, sa consommation de porno peut s'empirer, et passer de soft à des vidéos plus choquantes (BDSM, viol...) Mais supposons que ce dernier arrive à se contrôler, par exemple en regardant occasionnellement ces vidéos (15 min par semaine. Se confronte-t-il aux mêmes conséquences ? Merci pour vos réponses. |
| Dernière mise à jour il y a 8 mois #1 | |
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4 | Dernière mise à jour il y a 1 jour #2 | |
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Chacun a sa propre vision et sa vie. Middle_boy fait partie des 'jusqu'au boutistes', je pense aussi que cela dépend de la profondeur a laquelle on est tombé. J'ai des potes qui regardent ça de manière très rare, j'ai amis qui boivent très peu d'alcool et certains fument de temps en temps, chacun va jauger sa vie, mesurer sa consommation par contre voilà si on es sur ce site c'est qu'on est tombé bien bas donc d'abord l'abstinence totale serait bienvenue. Perso j'ai regardé des vidéos de moi et ma chérie mais c'est mon truc |
| Dernière mise à jour il y a 3 mois #3 | |
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Ce n'est ni la dépendance, ni l'addiction ce que tu décris la. Ils me semblent qu'on est plutôt la pour ça. |
#4 | |
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Ensuite pour répondre au sujet de fond. Si c'est bien une addiction / dépendance. Le fond c'est bien de ne pas pouvoir s'en passer. Et c'est le souvent le cas. Moi je trouve dommage de ne pas graduer l'addiction/depedendance, j'offre juste une voix de plus, quand j'ai posé la questions au CSAPA du pourquoi, ils m'ont répondu que les addicts se mettaient souvent une pression, ou ne voulait pas reconnaître une addiction car il y avait le poids de ce terme la. Si déjà on baisse le poids de ce terme , les personnes l'acceptent et commencent le cheminement. |
| Dernière mise à jour il y a 3 mois #5 | |
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Ensuite pour répondre au sujet de fond. Si c'est bien une addiction / dépendance. Le fond c'est bien de ne pas pouvoir s'en passer. Et c'est le souvent le cas. Moi je trouve dommage de ne pas graduer l'addiction/depedendance, j'offre juste une voix de plus, quand j'ai posé la questions au CSAPA du pourquoi, ils m'ont répondu que les addicts se mettaient souvent une pression, ou ne voulait pas reconnaître une addiction car il y avait le poids de ce terme la. Si déjà on baisse le poids de ce terme , les personnes l'acceptent et commencent le cheminement. |
| Dernière mise à jour il y a 3 mois #6 | |
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Ce que ça peut changer à la limite, c'est ton rapport au sexe. Entre un porno fait par une industrie horrible et qui fait des femmes des objets et des hommes des machines et une vidéo faite par un couple amateur, ça va déjà désalimenter une vision illusionée de ce qu'est le sexe. Mais ça ne va pas changer que c'est une addiction, qui conditionne ta vie à un mode de fonctionnement animal SANS effort, donc tu deviens un légume ( besoin, 2 clics, besoin satisfait....) Dans ce sens la tu tombes dans une boucle du " plaisir ", et non du bonheur. C'est-à-dire que tu vas mettre en valeur le plaisir ephémère plutôt qu'un bonheur au long terme. ( créé par des relations, des projets, des objectifs clairs , un apaisement) Ton cerveau est une machine qui t'obéit et à toi de voir qui a vraiment le contrôle... Sur ce forum nous sommes tous concerné de loin ou de proche par cela donc, on est la pour s'épauler ! Concrêtement, le meilleur reste de se sevrer de cette addiction nocive par définition. |
2 | Dernière mise à jour il y a 3 mois #7 | |
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Middle_boy, en me relisant, je tiens à te présenter mes excuses. Ce n'était pas une attaque personne...Non t'inquiète, je le prends pas personnellement, chacun à droit d'avoir un avis divergent. C'est juste que je me souviens d'un spéciale en addicto qui différencié la dépendance/l'addiction, de la mauvaise habitude et hygiène de vie. (Laurent Karilla, il avait fait la distinction dans un reportage). Souvent les gens dissent qu'on est tous un peu addict de ceci ou cela, mais la réalité c'est qu'une addiction ça te bouffe tout entier. Pour ça qu'on parle que la demi mesure ne marche pas en addiction, comme dans des problèmes de troubles du comportement. Une petit porte ouverte, et c'est la rechute. Tu peux dévelloper sur le CSAPA, j'ai pas tout compris, et ça m'intéresse. En 1er étape des 12, c'est la reconnaissance de son problème (addiction, trouble, etc), et où beaucoup ont de mal à quitter le déni, car ça peut faire assez mal de voir ce que l'on est devenue, et ce que l'on a fait. |
#8 | |
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Regarder du porno c'est mentir à son cerveau, en lui faisant croire qu'on à rempli l'objectif de s'accoupler. Donc on perd en motivation et énergie puisqu'on à fait semblant de remplir l'objectif biologique. Donc Soft ou Hard, dans les 2 cas on reste passif et on devient un voyeur, on perd en estime on consume de la dopamine. Ce que je considère comme néfaste. Les seuls "soft" que je pourrais admettre sont les histoires pornos écrite, mais même ça , c'est une interaction à sens unique , on reste passif et flemmard. Et y a encore le 'toujours + hard" qui va arriver. A bannir aussi si on considère arrêter le porno. Le pire reste de voir des images/videos, nos cerveau ne font pas la différence entre réalité et vidéos |
| Dernière mise à jour il y a 3 mois #9 | |
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1 | Dernière mise à jour il y a 3 mois #10 | |
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Après, il y a l'érotisme. Nous sommes entourés d'érotisme, nous le voyons partout. Il faut apprendre à vivre avec. C'est l'anti chambre du porno. Et puis, au stade plus réduit, il y a la sensualité avec toute la subjectivité qui va avec. Je reconnais l'apprécier et pour ma part, n'y vois aucune objection, surtout si il n'y a pas de vulgarité. |
1 | Dernière mise à jour il y a 3 mois #11 | |
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Déjà, je tiens à préciser que, selon moi, regarder du contenu pornographique ou érotique sans se masturber n'est pas pire que de le faire en se masturbant comme on l'entend souvent. Les seuls problèmes posés par cette pratique sont que cela perverti le cerveau, cela maintient l'imaginaire autour de ce contenu (on s'imagine à la place de..) et cela nous pousse à la masturbation ; de plus, on finit par ne faire qu'y penser et cela ne sort plus de notre tête.. ce n'est qu'un léger frein dont il faut enlever le pied. Avoir recours à la consommation de contenu pornographique, même « soft » reviendra aux mêmes conséquences sur ton addiction que lorsque tu regarderas du contenu hard. La différence, c'est que tes fantasmes/envies, voire tes expérimentations, seront différentes quand tu passeras d'un contenu à l'autre. Forcément, quelqu'un qui prend plaisir à se masturber devant certaines catégories va, au fil du temps, commencer à s'imprégner de cette pratique et évaluer sa nécessité ou non de l'essayer. Le truc c'est qu'en te masturbant régulièrement et devant du contenu, tu vas dévier naturellement vers du contenu plus hard, parce que ton cerveau se sera habitué au contenu soft. C'est le principe du « toujours plus ». Une scène mettant en scène deux tourtereaux ayant un rapport vanille, parfois, ne parviendra pas à te satisfaire et tu auras besoin de ce petit truc en plus pour te stimuler davantage. Je vais dire quelque chose qui va forcément être remis en causeSPOILER |
2 | Dernière mise à jour il y a 3 semaines #12 | |
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1 | Dernière mise à jour il y a 2 mois #13 | |
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Le commentaire de @Gau...Avec plaisir camarade https://image.noelshack.com/fichiers/2017/01/1483893486-risitas-haut-de-forme.png https://image.noelshack.com/fichiers/2021/37/5/1631879741-1631879715-screenshot-from-2021-09-17-13-51-22-removebg-preview.png |
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