Marié, 2 enfants.
Depuis que j'ai débuté ce challenge, j'ai pris conscience que mon manque de libido, de désir pour mon épouse, d'énergie en général, étaient principalement dus à ma masturbation excessive, induite par le stress et la frustration. Je m'enfermais aux toilettes, je mettais un porno sur mon téléphone et je me branlais jusqu'à l'orgasme. Bref, le PMO de base. Pas très glorieux...
Avec le recul, je me rends compte qu'à chaque fois, je n'avais pas envie de me masturber. J'avais envie de jouir, de prendre mon shoot d'endorphines, d'avoir ma dose. Un vrai drogué. Mais je ne pouvais faire cela que devant un porno. Mon imagination ne m'était d'aucune utilité.
Maintenant, ces envies ont changé. Au début, le sevrage était difficile, mais maintenant, je pense avoir atteint un certain équilibre. Maintenant, j'ai de nouveau du désir, je ne confond plus "envie" et "besoin", et surtout, j'ai envie de me masturber. Pas juste de jouir, mais de pouvoir me retrouver avec moi-même, me faire plaisir, chose qui n'était pas possible avant tant j'étais simplement "en manque".
La branle dissociée du porno est totalement différente, et à mon sens, bien plus honorable (mais ça, c'est juste mon avis).
Je me suis lancé dans le NoPorn, car c'est du porno que viennent le vrai danger et la dépendance. Et depuis, je suis passé de "je me branle 3 fois par jour dans les chiottes devant un porno" à " je me branle tous les 3-4 jours quand j'en ressens l'envie, et sans porno". Et tout ça en ayant récupéré mon énergie et retrouvé du désir pour mon épouse. Un bon équilibre, je trouve.
Le porno, c'est de la merde, ça tue l'imagination, ça objectifie les femmes, ça donne une fausse représentation des rapports sexuel, bref, le porno c'est pas la vraie vie.
Depuis que j'ai débuté ce challenge, j'ai pris conscience que mon manque de libido, de désir pour mon épouse, d'énergie en général, étaient principalement dus à ma masturbation excessive, induite par le stress et la frustration. Je m'enfermais aux toilettes, je mettais un porno sur mon téléphone et je me branlais jusqu'à l'orgasme. Bref, le PMO de base. Pas très glorieux...
Avec le recul, je me rends compte qu'à chaque fois, je n'avais pas envie de me masturber. J'avais envie de jouir, de prendre mon shoot d'endorphines, d'avoir ma dose. Un vrai drogué. Mais je ne pouvais faire cela que devant un porno. Mon imagination ne m'était d'aucune utilité.
Maintenant, ces envies ont changé. Au début, le sevrage était difficile, mais maintenant, je pense avoir atteint un certain équilibre. Maintenant, j'ai de nouveau du désir, je ne confond plus "envie" et "besoin", et surtout, j'ai envie de me masturber. Pas juste de jouir, mais de pouvoir me retrouver avec moi-même, me faire plaisir, chose qui n'était pas possible avant tant j'étais simplement "en manque".
La branle dissociée du porno est totalement différente, et à mon sens, bien plus honorable (mais ça, c'est juste mon avis).
Je me suis lancé dans le NoPorn, car c'est du porno que viennent le vrai danger et la dépendance. Et depuis, je suis passé de "je me branle 3 fois par jour dans les chiottes devant un porno" à " je me branle tous les 3-4 jours quand j'en ressens l'envie, et sans porno". Et tout ça en ayant récupéré mon énergie et retrouvé du désir pour mon épouse. Un bon équilibre, je trouve.
Le porno, c'est de la merde, ça tue l'imagination, ça objectifie les femmes, ça donne une fausse représentation des rapports sexuel, bref, le porno c'est pas la vraie vie.